Pénélope marche de Mulhouse à Paris en passant par Tokyo
Pénélope marche lit et colorie le monde, depuis 50 ans
Pénélope aime être seule au monde en ville, aime lire la ville et que la ville se livre.
La ville poursuit et les mains s'affairent,
Pénélope se pause, une rêverie créatrice nait, le monde de Pénélope se colore, brille et pétille.
Pénélope a grandit comme fille dans un monde d'homme, se construire dans un monde de maçon : du brique à bric. Se construire avec la transmission de mère à fille avec du fil conducteur, en coudre et découdre, peindre s'habiller et habiller le monde. Pénélope aime le cirque de la ville.
Elle est capable de construire seule et en groupe, d'imaginer à faire...
Dans beaucoup de cirque, de circonstance savoir faire du ciment pour des lieux, pardon des liens qui durent.
Faire du théâtre, construire un monde à soi et le colorer pour tous.
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être avec la tribut, une histoire de conjugaison vieille de 50ans |
Être quelqu'un de pas comme un, commun, pour être dans la vérité il faudrait le conjuguer au pluriel de ses différentes facettes et le faire partager. Elle doit pouvoir se dire j'ai songé à faire cela et je l'ai fait. Renoncer au confort du quotidien pour du luxe plus éphémère, se priver pour offrir le luxe aux autres. Peindre des murs.
Peindre des papiers, écrire les murs, écrire les papiers, dire, le livre change de poche, le rouge de la couverture passe à la ceinture du kimono.
La ville résonne de ses pas. Suivons son sens de l'urbanité, et le sens de ses pas, des pas de Pénélope. Dans le gris de la ville elle mêle des couleurs, des lumières. Y coud des boutons, caresse une chemise à jabot.
Elle met des lumières pour attirer et cache les ombres inquiètes. Elle montre la ville belle pour rééquilibrer ce qui est trop dur à voir. Parfois le gris doit être coloré pour être regardable.
Les sommets du confort et des raffinements, nous accompagnent grâce à elle.
A Paris elle Ritz encore.
Merci,
Pour Pénélope,
j'écris un peu en "Argos"
(c'est aussi le chien d'un voyage grec)
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le prédécesseur de ma sœur, est un peu farceur |
Faire "Fifty Fifty" j'ai longtemps cru que c'était une expression arabe, les ouvriers de l'entreprise familiale l'utilisaient. Le sens du partage à 50, est extraordinaire, merci Pénélope.