samedi 12 novembre 2022

ISTANBUL UNE VILLE DE CONTRASTE

 L'enfant de la colère, un roman de Michel Serfati, et d'autres ouvrages comme  une enquête historique dans le mode des manuscrits aux enluminures et miniatures magnifiques,de Orhan Pamuk, mon nom est rouge. Un roman policier mené par des gamins de quartier,  puis Religion un roman historique de Tim Willocks m'ont préparé à l'impression d'un billet de voyage vers cette ville-monde. 

C'est notre troisième passage en Turquie, le premier à un lieu  en bateau après une pause à Izmir avec la visite d'Ephese, puis en avion pour randonner en Cappadoce et maintenant pour cette mégalopole. Nos rêves d'Orient express, de bain turc, nos cauchemars de Midnight express et quelques faits contemporains qui entravent le droit des personnes pour des pensées libres ou divergentes, sont mises entre parenthèses. Nous plongeons dans la vie réelle des touristes de la ville.  

Notre transfert de l' aéroport proposé par l'hôtel nous paraissait cher, nous avons cherché à un meilleur prix. Nous avons payé d'avance. Mais voilà ce n'était pas la bonne affaire, la police a contrôlé  notre taxi et il est parti à la fourrière en début de trajet et notre argent n'a été rendu que très partiellement. Un autre taxi a été appelé par la police. 

La vue de notre chambre d'hôtel, comme un "havre de paix" dans le quartier le plus touristique,
une petite mosquée qui relaiera l'appel à la prière aux aurores.

La terrasse en toit de l'hôtel vue sur le Bosphore

Vue sur la Corne d'or depuis notre chambre

Espace, propreté et sobriété avec vue 
dans cet hôtel à taille humaine 

Les monuments nationaux, à quelques centaines de mètres : palais,
 mosquée sainte Sophie, mosquée bleue..
ici détail de la Sophie

bel éclairage, en association avec le ciel rougeoyant

        


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