samedi 7 septembre 2024

L' ADRET du Wolfskopf


A travers quelques photos, je vous emmène sur l'un des sommets du vallon steinbachois. 
C'est ma tour Eiffel à moi. 
Les sentiers sauvages que j'utilise pour l'accès rapide se sont fait envahir à plusieurs reprises par les ronces, je suis revenu rayé aux chevilles. 
Quand j'atteins la partie sommitale exposée au sud, je longe un  chemin forestier qui me laisse avoir une vue d'ensemble au dessus de moi des pierriers, rochers et éboulis et les fameux chênes. 
L'assaut du soleil sur cette pente est très impressionnant. 
L'adret c'est le versant ensoleillé.
Quand le chemin tourne légèrement pour suivre l'orientation du massif, qui passe plus à l'ombre, je monte au sommet, sous couvert d'un ombrage un peu plus marqué. 
Je me fabrique mon chemin entre les rochers.
 Parmi, les chênes, je repère quelques rares tilleuls, peut-être un sorbier, et des alisiers.

Une odeur de chamois est dans l'air
"La mort est présente parce que la vie est menacée"
Sur la partie exposée très au sud, les rochers affleurent, la torpeur du soleil d'été met à l'épreuve et ne favorise pas la végétation. Quelques chênes s'y osent...de nombreux périssent ces dernières années...

Les coups de soleil mettent Knock out  ces chênes. La température s'élève, ici c'est digne d'un four, et le manque d'eau des dernières années a du les affaiblir. Les résistances sont mises à mal et cuisent les chênes.
pas loin de l'altitude 785



Quand je retourne vers la maison, la densité des chênes augmente, moi  je descend et eux  ils deviennent plus haut.

 

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