lundi 15 février 2021

Gertrude

Gertrude : c'est un prénom germanique, une marque de bière, un outil informatique du trafic routier urbain, chez nous c'est devenu le nom des petits cactus, plantes grasses et autres succulentes. C'est l' histoire d'un cactus "Gertrude" confié aux bons soins de sa mère,  par  sa fille, qui part faire des études au loin. C'est presque un objet transitionnel ici, je l'ai entendu comme un support pour "présentifier l'absence". La maman est infirmière ça ne manque pas de piquant.
Avec une panne d'injection , si c'est la voiture d'une infirmière, on peut faire un roman.

Nos "Gertrudes" mettent en valeur, les premières réalisations de Francine  à partir d'un tour de potier. Ici, Gertrude a du bol, sa propre flânerie végétale à la recherche d'un endroit du manque, a une belle place. 

La fille a t'elle indiquée à sa mère la posologie ? soit une à deux cuillérées à soupe d'eau par semaine. Lorsqu'elle téléphone elle prend des nouvelles de Gertrude. Plus tard pour les biberons ça sera indiqué sur la boite de lait en poudre, si Gertrude pouvait mener sa vie végétale jusqu'à là ! Il faut garder les pieds sur terre, même si c'est de la terre à cactus ! 




Il y a quelques temps Francine est allée suivre une animation au musée des beaux arts. Confection d'objet en tissu, à recouvrir de laine et de fil. L'intérieur peut-être garni de secrets. Comme cela, ils sont cachés au cœur. Le dévoilement n'est pas dans le pouvoir d'une clef, il y a un long fil à rembobiner.

 Laine secrète.  

Un secret qui se pelote à l'intérieur d'une bobine.

Lou et Léo avaient été intrigués, ils avaient essayé d'extraire les secrets en se frayant un chemin entre les fils, mais n'ont rien pu saisir.

Non lieu  

Nom : lieu       jaune

C'est ce que nous avons mangé à la saint Valentin, lieu jaune à la nage, pomme de terre en maillot jaune : c'est quant elles enlèvent leurs robes des champs ! beurre de persil et dessert comme une cerise d'amour

Depuis deux jours mes balades me mènent dans une zone à rochers  affleurants et petites falaises de la montagne steinbachoise.   Je me suis rendu dans un endroit bien caché, un passage souterrain sous la roche. Je l'ai emprunté, tête baissée dans l'obscurité totale pour retrouver  le jour de l'autre coté. En ressortant j'ai compris que je voyais certainement le bout du tunnel.
 

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