Y aura-t-il une marchande d'oie ?
Bivouac à l’abri du seul relief cotoyé et construit par l'homme pour se protéger :la digue.
Puis le lendemain une ferme isolée marque notre entrée dans un paysage présentant à nouveaux des reliefs.
Dans notre "notation gustative", les soupes au vu du temps nous ont ravis par un savoir faire et de la générosité d'abord celle de poisson, dégustée chez Fisch und Meer à Wurster Nordseeküste, puis une soupe de lentille ont été finalement distancées par le potage d'un menu du jour annoncés aux asperges, l'onctuosité, le gout, la finesse, la fraîcheur des ingredients étaient là , avec de très beaux légumes, saupoudré d'un fine émincée de jambon rose servi avec un pain frais croustillant et un ramequin de fromage double crème.
Un petit crapaud est venu jouer à saute escargot sur la piste cyclable, en fond de photo Francine maintient le tandem pendant la photo, mais le crapaud est quand même allé trop vite !
A Hamelin, dans une petite pension, nous avons dormi dans un lit à baldaquin, les rêves de princesse de Francine ne l'ont pas empêchée de se plaindre d'un sommeil peu réparateur, elle s'est endormie avec le dossier en position lecture et les jambes relevées grâce à la commande électrique du sommier à sa disposition. Les rats n'ont riens rongés, le joueur de flûte n'est pas passé. Mais la ville est coquette, la renaissance de la Weser marque l'habitat et ce que je pense être une mise en scène de la fortune des habitants du 16 ème siècle.
Les nombreuses maisons rurales à toit de chaume enfin plutôt de roseau c'étaient estompées peu à peu laissant place aux tuiles , mais les petites briques rouges nous ont accompagnées longtemps s’intégrant parfois dans les entrelacs des colombages.
Des éléments de facade sont peints avec des motifs géométriques et des tonalités vives !
Le bonnet de la tour d'angle aurait-il plu aux brigands de Tomi Ungerer ?
la Weser sous la pluie |
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