Grace à la neige, bienvenue, dans le monde du blanc, même les photos de nuit sont possibles.
Nos vacances à la montagne se préparent encore, mais l'état de l’enneigement local m'a permis de partir d'ici, chaussé de ski, pour un tour du vallon su Silberthal. La neige me permet d'être le premier à laisser une trace, comme un avion à réaction dans le ciel, mais sans kérosène. Mes skis sont des "L'éclairs" que j'ai usé hors les pistes, alors qu'ils ont dû être conçu pour les circuits bien préparés, et les courses. Faire sa trace, c'est une démarche individuelle que j'apprécie. Elle est visible dans la neige, utilisable pour d'autres et puis s’efface.
Si les toiles de Robert Zieba, une fois sorti du monde sombre des mines de potasse, jouent à nous illuminer grâce à la neige avec des paysages de villages endormis, celle de ... m'évoquent les aventures hors les pistes, dans les montagnes sauvages.
Et Lou se mare !
Francine est allée le voir, pendant quelques jours. Il découvre une nouvelle manière de voir le monde, celui que l'on peut appréhender quant nous nous redressons.
Il mange ses premiers légumes, ses premiers fruits, mais le soir ça lui plait moins, il tourne la tête, ferme la bouche, pour marquer sa position, et, reçoit alors un biberon qu'il tête goulûment.
Quel regard espiègle !
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