Nous avons traversé passerelles et ponts en nombre, longé tantôt les parties sauvages avec des paysages de zone humide idyllique. Mais aussi longé le Rhône navigable, et croisé quelques péniches à vocation de transport fluvial, et des bateaux de plaisance.
Des paysages grandioses et variés nous accompagnent. Le tracé et le revêtement de ce parcourt est bon jusqu'à Lyon. La sortie de la métropole est déplorable, une sorte d'itinéraire bis entre voies partagées avec la circulation automobile dense et des passages pour vététistes expérimentés, dans un sentier en devers, grandiloquence et défaillance. Les cyclistes sont en danger.
Largement plus au sud les surprises du Rhône continuent avec un passage à gué, une ouverture de vanne et c'est un mètre d' hauteur d'eau qu'il faut passer ou revenir et chercher un contournement. Passage non signalé, donc dangereux, une fois traversé en plusieurs voyages, un enfant arrive depuis la rive d'où nous venons, comme grisé par la vitesse, il se retrouve effrayé et criant dans l'eau mais toujours sur son vélo, ouf !
Ce fleuve a un côté majestueux
Lyon, c'est déjà la Sibérie pour les gens du sud, et pour nous c'est la porte vers le sud.
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