Cacher et dévoiller, je ne savais pas le marbre aussi transparent, sans l'être réellement.
Le plaisir de regarder, de rechercher ce qui peut nous être offert à voir, deviner du plaisir. Rever de soulever ce drap qui protege comme une deuxième peau. Un voile comme un tissu qui préserve un peu d'innocence, d'une vision pas tout à fait offerte. Garder du cacher dans l'intimité des plis. Deux pointes de duretées dans un corp avec de beaux galbes.
Si cette statue feminine m'envoie dans le passage de l'entrée dans le monde adulte, la statue du Christ voilé de San Sévéro, me fait naviguer : entre la vie suggerée derière une sorte de rideau de mise en scène, nous sommes invités du coté de la mort.
Le corp recouvert d'un drap légé présente lui aussi un aspect suggestif, la bouche semble puiser encore de l'air, les muscles et les veines sont parfois saillantes.
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le grandiose dans Naples |
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Les patios espaces urbains entre le privé et le publique,
Naples cultiverait-elle un aspect sombre ? |
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grandeur et decadence |
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comme si l'on sortait d'une guerre... |
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le sens de la dramatique peut naitre ici... |
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ici les dessous de Naples sont chic |
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