A LYON j'ai faim, un parfais au chocolat noir s'il vous plait ! |
Nous sommes à Lyon pour le festival "Quai du polar"
N'ayez pas peur du noir !
Notre visite au musée des beaux arts s’arrête à une toile de Delacroix, l'empereur Marc Aurele y agonise, l'auteur de bd Joan Sfar partage son approche de la toile, en passant par ses maîtres,jusqu'à Charly Hebdo. C'est fort ! parfois truculent son analyse politique du monde d'aujourd'hui est nourrit d'une écoute sensible.
Le désespoir, la désespérance comme source d'attentat, et cet acte vu comme un suicide en groupe pour ne pas y aller seul.
Au musée Confluence, l'approche des poisons est vraiment sympathique, botanique et pharmacie, chasse et faits divers, serpent, insectes et autres chimistes de substances délicates et foudroyantes...
La grève sncf est venue nous contrariée, le billet aller- retour en tgv, ne nous a pas mené à quai. mais sans crier "remboursez !" le billet l'a été, j'aurai tout de même préféré qu'il nous balade.
Le désordre économique provoque des révoltes, de la fragilité psychique, des dérives sociales, cela a été un thème sensible pour quai des polars 2018 . Le polar pris comme une analyse sociale.
Les bagnoles sur l'affiche se donnent rencard dans un désert, ça sent le duel. Il y aurait donc eu préméditation, plutôt bagnole que train, cette année ?récolte 2018 un paquet de livre et une douzaine de dédicace, et des nuits noires en perspectives |
Gilda Piersanti première dédicace après l'obtention du prix des lecteurs pour Francine avec une joie qui ne se cache pas |
Il n'avait dormi qu'une heure, mais a vérifié que j'ai bien payé avant la dédicace, quand on passe de flic à romancier on ne se refait pas, merci Olivier Norek |
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