L'élégance des formes et des couleurs, les ambiances forestières changeantes, de la beauté rose à l'âpreté rocheuse grise, en marchant je me met pourtant au vert.
C'est comme un lavage des pensées moroses, de faire l'effort d'être lavé par sa propre sueur, d'une civilisation où tout va vite. De retrouver le bonheur de marcher, et d'aller dans les endroits les plus sauvages. En sortant de ma maison je me sent parfois plus près de ces lieux, que ceux de la "luxuriance trop construite", je m'y promène comme certains fleurissent leurs jardins. |
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