A proximité des ânes, une lampe frontale empochée, pour une balade de début de soirée. Je croise des voisins, qui leurs distribuent parfois des carottes. Ils les ont cultivés dans leur jardin, alors que nous, nos essais de culture de ce légume, n'a pas suscité de poursuite d'expérience pour dompter la terre. Surprise, un paquet en papier est déposé sur nos escaliers.
Des carottes belles, avec des personnages et des histoires qui pourraient en sortir.
Je relis un extrait de Paul Bocuse, je m'en inspire et les carottes viennent rejoindre le braisage de deux tranches de jarret de veau, 2 heures plus tard, des carottes fondantes et gouteuses, un jus extraordinaire, accompagnent notre repas.
Aussi le persil de notre jardin prélevé avec le givre du matin, et des tomates séchées, fabriquées lors de l'arrosage du jardin de nos autres voisins à la fin de l'été.
La lumière très généreuse ébloui les premières floraisons de perce-neige
L'eau de l'hiver a déposé des branches sèches sur les rives.
Le lierre se fait vitrail vert
Des "pierres de cuisson humaine", ont été jetées ou arrachées par les eaux et usées par sa force. Tuiles et briques se sont arrondies comme des galets.