dimanche 21 décembre 2014

passage à 50

Dessin Pénélope Holder pour accompagner le champagne

A l'approche des fêtes de fin d'année, j'ai eu le plaisir d' inviter à une soirée celle du vendredi 19 décembre 2014 à partir de 19h, quelques amis. Ils étaient les bienvenus à la clairière du Silberthal, Pour  un agréable moment à partager.

Dégustation et convivialité, avec l'idée de mettre de la poésie dans l’existence.
Un programme interactif  était à construire. C'était une soirée sans purée mousseline, il fallait travailler un peu plus, même si la soirée avait à voir avec l'âge du produit !
Quelques uns ont joué le jeux et crée ou lu  un texte contemporain soit maximum 50 ans d'âge,  chant, lecture, récit, poème, 
Boissons et plats chauds servis, les bouchées à la "petite" reine étaient extra...


 J'ai passé une nuit extra ordinaire, et mes nuits ne sont  pas entièrement noires.
 Votre qualité de présence était très forte et est venue éclairée comme cinquante bougies mon anniversaire.
 Je suis touché par l'ambiance de "fête" qui c'est dégagée.
 La proximité de personnes d'univers différents regroupés autour de moi, m'a fait fait chaud au cœur.
 Merci, d'avoir contribué à cette belle aventure nocturne , et d'avoir fait l'effort de venir  dans le vallon du Silberthal, rencontrer de l'imprévu.J'ai aussi une petite pensée pour ceux qui ont été empêchés. Merci de vous être décarcassé, pour que la soirée soit festive, et de m'avoir fait pleins de présent, très touchant,  dans la chanson de Brassens, ils brûlent encore à la manière d'un feu de joie. Mes amis sont repartis avec le sourire d'une soirée finie en feu d'artifice musical et  gracieux , merci  à Dominique et Virginie de la compagnie du vent en poupe. la lumière étaient avec eux. Les chaussures de Dominique doivent pouvoir se patiner  sur scène encore et souvent !    
la classe 64 dans le coup !

A mes amis voisins : Les yeux humides, la lumière est certainement  très belle mais peut-être aussi plus lourde,
ici notre haleine est en brouillard, le monde est gris
j'attend la blancheur des toits et des champs
mon pare brise n'est pas encore gelé, mes phrases si
et les mots engourdis,
je rêve d'un samedi après midi à odeur de pâtisserie,
il fait  nuit je viens de faire du feu au fourneau.
Par l'esprit et par les mots je porte un peu de cette lourdeur
qui nous mène à la terre, alors qu'un oiseau s'envole.




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