Ian Manook pour Yeruldelgger, Caryl Férey pour Zulu, Olivier Truc pour le dernier lapon voyage garanti avec un peu d'âme noire |
"La moitié de ce que j'écris vient de ma propre expérience. Mon mari me l'a d’ailleurs reproché : en lisant une scène de ménage vécue dans un de mes livres" Camilla Läckberg, princesse de glace.
" J'écris pour me compléter" Je mêle fiction : ce que je voudrais être à ce que je suis.
Je n'ai pas de très grandes connaissances mais j'ai peur du vide, je ne connais pas grand chose à la physique par exemple, pour moi un atome c'est un truc crochu. Atomes crochus et sciences sociales ça fait bon ménage pour moi.
Ce que j'entend et partage ici, va sécréter une vague...lire et délire... lire et délire...rebondir sur l'a- mer me tue peut-être pris comme une dance macabre, mais c'est aussi une dance de l'égalité, parce que la mort entraîne tous les êtres. Romans noirs. Fins et débuts.
avec Tim Willocks autour de dompter de la force, du savoir et des sentiments |
un moment calme |
J'ai essayé de lire des choses que je comprend très peu : Gilles Deleuze, Felix Guattari, Jacques Lacan, Emmanuel Levinas, Emmanuel Kant, je n'ai pas tout à fait abandonné, mais je lis des polars.
Je lis des polars comme je roule à vélo, pour sentir l'éffort, parfois le dépasser, je roule pour découvrir et c'est moi même que je découvre aussi. J'ai une sensibilité aux paysages. J'aime vivre avec la rencontre, la rencontre des différences, des langues ,des êtres, il y a d'autres façon de vivre...
Je m'interresse aux passages : de la sauvagerie, à la barbarie vers la civilisation.
De la sauvagerie l'idée d'être sans chef me séduit partiellement, la radicalité de la survie et les pulsions à assouvir, de la barbarie je retient l'entrée dans l'histoire, les réunions, la naissance de la propriété, de la civilisation : l'organisation, la recherche d'une vie harmonieuse, les routes qui mènent à tout, et qui ouvrent vers un rapport critique: on ne peux plus faire gober n'importe quoi...
à l'opéra pour un show narcicique, d'auto persuasion à l'américaine: James Ellroy |
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