depuis le sommet du Wolfskopf chênaie d'altitude |
erzenbach gelé |
En quittant le bureau, mon retour à la maison me permet de chercher un peu à m'isoler dans la montagne toute voisine. Je chausse mes chaussures de randonnée et c'est parti....
Plus tard, nous accueillerons Paty, venue de la capitale son lieu de travail la semaine, et de Strasbourg pendant ses repos. Notre amatrice de ville, ne dédaigne pourtant pas la campagne.
J'étais allé seul marcher sur les sommets du Wolfskopf, à la tombée de la nuit, par une montée directe un peu éprouvante pour l'organisme qui passe de la lutte contre le froid à la lutte contre le chaud produit par l'effort. La neige craque sous mes pas, je trace mon chemin blanc.
Je suis seul, avec la montagne et la neige. J'ai très vite quitté les chemins,pour rejoindre un de mes lieu préféré du moment qui dit " tête des loups" dit sauvagerie. C'est un sas d'isolement, ressourcement. Travailler avec les autres, nécessite pour moi des temps à ménager, seul avec peu de stimulations venue des réalités augmentées et des entourages humains qui les dominent et les servent.
Je regarde les dernières lueurs du ciel s'estomper derriere les crêtes vosgiennes, J'ai une vision panoramique sur tout le Sud. La chênaie d'altitude permet de part sa nudité cette belle vision, sous un éclairage tamisé, d'avant nuit.
Paty est arrivée, avec Francine elles sont parties se balader vers le Silberthal, le vallon éclairé de nuit . Les filles sont plus civilisées.
Salade de choux chinois,pommes acidulées et oignon rouge accompagnent la quiche aux carottes et curcuma frais, après notre plateau de fromage du marché, le flan aux patates douces, rhum et vanille des îles nous aura restauré, et donner du temps pour s'écouter, et chercher des capacités, pour trouver une place à notre mesure.
Pour la balade du dimanche, c'est un voyage à trois vers la cascade, par des chemins en usage et d'autres que la nature regagne, avec des liaisons hasardeuses mais dans la bonne direction.
La cascade murmure derrière la glace. Une chanson douce pourrait nous guider.
Pour la balade du dimanche, c'est un voyage à trois vers la cascade, par des chemins en usage et d'autres que la nature regagne, avec des liaisons hasardeuses mais dans la bonne direction.
La cascade murmure derrière la glace. Une chanson douce pourrait nous guider.
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