mercredi 26 mai 2010
muscat d'Alsace et biscuits roses
lundi 24 mai 2010
clichés spacieux lumineux et sereins
Une apprentie potière sort de son atelier, il y a du rêve au bout des doigts. D'autres doigts sont tendus vers la rencontre d'une vache,les couleurs roses,beiges et brunes des deux s'accordent de manière fugace. Théo se prête aux joies de la proximité avec les enfants, il ne se laissera pas manier par le petit fouet.
promenade du dimanche
vendredi 21 mai 2010
Un peu de gym
jeudi 20 mai 2010
Gourmandise de la Rhénanie
De l'eau sur la tête et à nos pieds ne nous a pas empêché de faire quelques découvertes succulentes avec les caramels bâlois, à vous lécher les doigts...
Parfois c'est aussi la sobriété qui nous arrête et nous touche, avec cette réhabilitation de gout dans la banlieue baloise.
C'est des tours qui enchantent la ville sans détours et ressemble comme des jumelles à celle de Riquewihr.
lundi 17 mai 2010
dérives et découvertes du Rhin
D'une rive à l'autre, les villages portent parfois le même nom, le cours a fluctué et hop des Suisses sont devenus Allemand, grâce à un méandre du Rhin.
Nous avons traversé un pont couvert très ancien en bois, un peu plus loin un pont en métal qui m'a rappelé la dernière guerre. J'espère que les cousins germains souriront du commentaire de la photo "fahrrad macht frei".
Pour un peu on se serrait cru à Riquewihr avec la petite ville de Waldshutt, que nous avons beaucoup apprécié avec sa dimension sympathique et ses sculptures à découvrir modernes et anciennes.
des rives du Rhin...
A la dérive, entre les frontières de nos voisins, nous avions prévu une randonnée cycliste de 4 jours pour remonter le court du Rhin. Mais voilà la pluie et le froid annoncés et subis nous ont freinés. Notre énergie s'est reportée vers notre jardin, des salades sont plantées et semées. Une légère accalmie étant annoncée pour samedi et dimanche, un hôtel fut trouvé et réservé, la remorque accrochée. Nous traversons le Rhin à Bâle puis nous suivons la rive industrielle allemande. La voie cyclable est étroite entre les routes, les trains, les péniches et un espace forestier, nous frôlons les arbres et les barrières. Nous y perdons notre fanion de remorque avec notre cigogne comme blason. Nous retournons sur la route, et les pistes plus carrossables. A Rheinfelden nous passons le Rhin sur un vieux pont en pierre, avec un marché africain et les couleurs chatoyantes qui se poursuivent dans la ville historique, voyage et contraste. Dans la forêt, l'odeur de l'ail des ours nous accompagne, puis la pluie et la boue. Nous nous aménageons quelques poses pour nous mettre sous abri, dans une cabane qui attendait un apéritif de mariage puis, sous un toit d'abri à vélo d'un collège. Des flaques se forment à nos pied à la réception de l'hôtel.
samedi 1 mai 2010
A table ! On mange !
C'est pas tout d'avoir trois assiettes maisons et des bols, il faut les garnir.
Des sot l'y laisse de dinde cherchés chez monsieur Edel, notre fameux boucher, coupés puis grillés avec des bâtonnets de chorizo,et un peu de crème,
des chips de pomme de terre vitelotte,( il y a peu de friture chez nous, seul les panais subissent parfois le même sort pour accompagner le poisson), et des haricots plats bio de chez Roth,
un bout de baguette de notre célèbre boulanger steinbachois, une poire et un bol de thé.
Francine est retournée à l'atelier terre, et Théo a un match de handball...
Les Bouzous
Mes premières sculptures.
A la base je modèle une boule de terre,
puis je laisse courir mon imagination...
Si je la réalise pour l'offrir,
je la personnalise en faisant ressortir
des traits de caractère ou physique
de la personne
ou je la met en scène.
Vaisselle cassée.. .vaisselle foutue, je me transforme en potière et voilà trois assiettes...
Mais elle est vide !
Floraisons
Le printemps me rend gourmand, j'irai bien chercher dans mon buffet à confiture : une gelée couleur d'or à l'étiquette "puni aux coings", les fraisiers sont aussi en fleurs, il faudra choisir...
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